Électrisant hommage à Gershwin que ce concert qui réunit les plus célèbres pièces d’un autodidacte de génie, qui projeta le jazz sur la scène symphonique.

Autour du Concerto pour piano n° 1 de Tchaïkovski, aussi virtuose que populaire, Klaus Mäkelä nous offre ce soir un florilège orchestral haut en couleur, alliant la passion russe au raffinement français et à la fièvre espagnole.

Dans ce concert au programme virtuose placé sous le signe de la féerie, Esa-Pekka Salonen promet de sublimer l'orchestre. Les charmes ravéliens tranchent avec les assauts du Mandarin de Bartók et la profusion sonore de la Symphonie fantastique.

Deux chefs-d’œuvre symphoniques, dont le « testament » musical de Sibelius, escortent dans ce programme l’archet radieux de Joshua Bell dans le Concerto de Beethoven.